Le tatouage est un métier d’avenir », affirme Ghada Atiaoui à l’AFP. Cette Tunisienne de 19 ans étudie dans la première école de tatouage d’Afrique du Nord, ouverte il y a peu pour rendre ses lettres de noblesse à cette pratique longtemps considérée comme grossière, vulgaire, réservée à des personnes peu éduquées ou ayant mal tourné. Mais ces dernières années, le tatouage redevient tendance, notamment auprès des jeunes, qui choisissent des motifs plus ostentatoires.